À soixante-dix-huit ans, Tran To Nga mène son dernier combat : celui qui l’oppose à vingt-six sociétés américaines qu’elle accuse d’avoir produit un herbicide baptisé « agent orange », à l’origine de nombreuses de ses pathologies. Contaminée par ce défoliant largué sur les forêts pendant la guerre du Vietnam, elle porte avec force cette bataille menée au nom de millions d’autres victimes.
À lire dans notre numéro 11, mai-juin 2019.